mercredi 3 février 2010

L'Anglo-Saxone.

Individu du genre humain de sexe féminin qui, de par son allure et sa propension à parler pour affirmer avec force son néant spirituel, nous renvoie avec joie par opposition à l'héritage machiste gréco-latin de l'Europe. Si l'on se cantonne à écouter les variations sonores d'une ou de plusieurs anglo-saxonnes sans prêter attention au fond, si fond il y a, on relèvera une similitude avec la volaille.

L'anglo-saxonne se caractérise physiquement par une surcharge cosmétique, un brushing volumineux, une culotte de cheval variable, une propension à s'habiller de façon masculine. Arrogance et superficialité sont les deux piliers du rapport au monde de l'anglo-saxonne. Son hobby préféré allant de la ballade du chien jusqu'aux activités sociétales (de la charité à l'hystérie lesbienne militante). Foncièrement idiote, elle n'en demeure pas moins capable de produire une infinie quantité de griefs moralistes assez grossiers et passe partout. Il faut rappeler que la finalité la plus élaborée que développe une anglo-saxonne est d'écraser son vis à vis dans l'échelle sociale. C'est précisément pour cela qu'elle se veut féministe et castratrice ainsi que fascinée par l'argent. Les deux premiers éléments lui servant à manipuler à sa guise l'anglo-saxon qui lui apporte un rang social qu'elle est par ailleurs incapable de réaliser de par l'exercice d'une activité raisonnée et stable, désintéressée.

L'anglo-saxonne est la conséquence de l'anglo-saxon, sa réalisation négative. L'anglo-saxonne incarne l'archétype occidental de la femme perçue comme idéale. Elle découle de la féminisation de l'homme anglo-saxon et porte en elle ce qu'il a abandonné. Dans les pays nord européens l'anglo-saxonne, grasse avec une mauvaise dentition passé 40 ans, s'avère être la plus hystérique sur ses "droits". L'anglo-saxonne est utilisée sans modération par le système productif euro-américain en ce qu'elle occupe dans le champ civique la fonction d'agent démobilisateur. Profondément niaise, elle se charge de répéter avec la puissance de ses hormones et son pathos inné, tous les poncifs du système en place. Elle est à juste titre une chienne de garde docile, imbue de sa personne mais trop stupide pour comprendre sa condition. C'est ainsi que le capitalisme anglo-saxon est parvenue au stade suprême de l'exploitation de l'homme: la vaginocratie est l'idéologie anti-politique des tenants du primat économique sur le civique. On note dans les pays latins une résistance marquée vis à vis des campagnes puritaines de ces grosses fesses à varices éructantes qui portent en général sur des sujets émotionnels et maternants: du droit à l'adoption par les invertis au papotage pseudo-psychologique sur les problèmes sociaux.

La meilleure chose avec une anglo-saxonne est encore de la traiter comme ce qu'est elle est: Une roulure hystérique proche de la gardienne de camp de concentration. Hilary Clinton incarne parfaitement l'anglo saxonne: Vulgaire, grande gueule, mal habillée, donneuse de leçon, sèche comme une trique, cassante, arrogante, bref américaine.

Auteur inconnu